Mes celibataires paraissent i  nouveau nombreux a utiliser des applications de rencontre, mais depuis les huit derniers mois ils doivent faire preuve de creativite dans leurs frequentations en raison une pandemie.

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Mes celibataires paraissent i  nouveau nombreux a utiliser des applications de rencontre, mais depuis les huit derniers mois ils doivent faire preuve de creativite dans leurs frequentations en raison une pandemie.

Mes celibataires paraissent i  nouveau nombreux a utiliser des applications de rencontre, mais depuis les huit derniers mois ils doivent faire preuve de creativite dans leurs frequentations en raison une pandemie.

Les cafes et restaurants – lieux privilegies des premieres rencontres – etant fermes, ils optaient jusqu’a tout recemment Afin de des parcs. Neanmoins, ca sanitaire qui se deteriore et l’hiver qui s’amene auront-ils raison de ceux qui cherchent l’amour ?

« Pandemie ou non, le desir de denicher un mari demeure present », repond Notre sexologue Laurence Desjardins.

Elle explique qu’avec les occasions de socialiser qui se font plus rares, les gens n’ont plus autant de moyens de se distraire, et cela pourrait expliquer l’angoisse que plusieurs ressentent a l’idee de ne point eventuellement se trouver un mari.

« Je ne m’empecherais gui?re d’etre en relation jusqu’en 2022 », confie Lucie qui prefere taire le nom de famille afin d’entretenir son image publique. « J’ai 60 ans, a mon age Il existe une manii?re d’urgence dans la mesure ou je me dis que si je ne suis nullement en couple la, je ne le serai probablement nullement a 65 annees. »

Pour l’instant elle a delaisse nos applications de rencontre, mais Elizabeth Massicolli, 29 ans, partage son avis. « Est-ce que je devrais m’empecher d’etre en relation Afin de les deux prochaines annees ? Je ne crois gui?re, non », affirme-t-elle.

M me Massicolli admet toutefois qu’il faudrait etre prudent et qu’elle n’a eu que trois rendez-vous depuis le printemps.

Notre crise globale a change sa donne

Dominique Sacy, 27 ans, a connu une variete d’experiences plus ou moins fructueuses sur la plateforme Tinder.

S’il n’aime gui?re specialement les applications online c’est aussi parce qu’il degote ceci plus simple de rencontrer une personne, ainsi, d’apprendre a bien la connaitre de facon naturelle, voire spontanee. Il avoue egalement qu’en temps libre de crise sanitaire, avoir 1 rendez-vous galant a l’exterieur quand le mercure chute : ca refroidit l’ambiance.

Meme s’il a aussi choisi de s’eloigner des plateformes de rencontre pour le moment, a-t-il eu au sein des semaines precedentes une fille qui possi?de exige un test de depistage a la COVID-19 avant de le voir ? « Non, repond-il en riant. Les mecs n’etaient gui?re necessairement plus craintifs. C’est entendu qu’au debut on respectait Notre distanciation physique. »

La crise globale a change la donne, d’apres M me Massicolli. L’avantage c’est que « J’ai communication s’etablit des le debut », dit-elle.

Puisque chaque contact est en mesure de avoir une incidence reelle dans la vie de l’autre personne, vous devez etre transparent et cela laisse place a des conversations plus humaines et plus profondes, explique ma petit copine.

« Tu dis des trucs que tu ne dirais pas quand tu rencontres quelqu’un pour la premiere fois comme : j’ai surpris la maman depuis quatre jours », poursuit-elle.

Le sujet de l’exclusivite vient aussi plus rapidement sur la table, « c’est le genre de discussion que tu abordes normalement apres deux ou trois mois », fait-elle remarquer.

M. Sacy estime que les applications de rencontre ont profondement transforme les relations sociales, mais se desole de ce qu’il appelle « l’effet Tinder ».

« Tu peut-etre fort interesse au https://besthookupwebsites.org/fr/datingcom-review/ debut, mais votre sentiment s’evapore promptement », parce que l’application apporte un vaste conseil de candidats et candidates, explique-t-il.

Pour le sens, faire des rencontres a l’ere de la pandemie pourrait avoir de bons cotes, explique la psychologue Jocelyne Bounader, « les gens se limitent et voient moins d’individus a la fois. Ils prennent davantage un temps libre Afin de voir s’ils seront compatibles ».

Elle ajoute que cela va amener nos relations a gagner en qualite, plutot que de miser concernant le nombre de frequentations potentielles.

Apprivoiser la video

Une rencontre video est 1 nouvelle accessoire quasi incontournable. « C’est etrange au debut, reconnait M me Massicolli, mais avec un verre de vin ca aide a briser la glace. »

« C’est vraiment special parce que quand ca clique, ca clique » ecran interpose ou nullement, ajoute-t-elle.

Elle croit que c’est une habitude qu’elle va garder parce que les conversations video, surtout si elles s’echelonnent concernant plusieurs semaines, permettront de bien cerner les gens.

C’est cela pourrait expliquer la hausse de 70 % qu’a connu la fonction d’appel video de l’application Bumble en mi-mars a Notre premiere semaine de mai, selon les chiffres qu’avance la directrice du marketing, Meredith Gillies.

Chose certaine, c’est une periode « tres complexe pour nos celibataires » et moyen peut leur paraitre plus long, affirme M me Desjardins. Elle reste d’avis que diverses utilisent les applications de rencontre Afin de tromper l’ennui ou comme moyen de creer Plusieurs contacts humains, bien que virtuels.

Notre sexologue observe aussi que diverses individus sont si preoccupees par tout cela se marche au sein d’ l’actualite qu’elles n’ont nullement envie de faire des rencontres en ce moment.

D’autres se demandent s’ils devraient mettre un vie amoureuse « sur pause » ou s’ils vont vraiment rencontrer quelqu’un. « Ce seront des questions qui n’ont pas de reponses toutes faites, reconnait-elle, parce que la situation sanitaire evolue au quotidien et qu’il y a bien une part d’incertitude. »

Tomber sur l’amour (concernant vrai) en pleine pandemie

Gabrielle Fyfe, 23 annees, fut plus chanceuse en ce qui concerne les applications mobiles. Depuis six mois elle frequente 1 jeune homme qu’elle a rencontre Sur les forums, 1 ancien camarade que le hasard des algorithmes a mis concernant le chemin.

Elle a commence a dialoguer avec lui la premiere semaine d’avril. Elle prefere normalement rencontrer le webmaster facilement pour se Realiser une option, mais confinement oblige, i§a a continue de lui ecrire pendant plusieurs semaines.

Puis, ils ecoutent Notre finale d’une tele-realite ensemble sur FaceTime. Ils se plongent ensuite au sein des cinq saisons d’une serie en rafale.

Tout ca ne serait jamais arrive si Gabrielle avait jongle avec ses etudes, un travail a moment partiel et ses activites a titre de presidente de le association universitaire tel cette dernii?re claque habituellement.

« J’ai une vie sociale active. C’etait quelque chose que J’me faisais reprocher dans mon ancienne relation », dit-elle.

Depuis les derniers mois, cette dernii?re a environ temps libre a investir dans le couple meme si elle a repris ses etudes. Il faut dire que la province sera alors au ralenti avec les mesures pour contenir le virus.